Voilà trois ans que j’ai transféré mon blogue professionnel sur ChristianLegault.com. Je reviens ici avec l’idée de partager des faits inusités de ma vie, les pensées qu’ils suscitent et des folies qui me passent par la tête. Quelquefois sans queue ni tête, souvent sujet à réflexion.
Sur mon cellulaire, j’écris une multitude de notes qui raconte une histoire, celle de l’épopée de mon esprit qui tente de percer les mystères de la vie quotidienne. Finalement, je documente ce qui se passe dans ma tête. Je partagerai cette expérience humaine comme on peut le faire dans une psychanalyse.
Je comprends la culpabilité de parent. C’est justement le point, de culpabiliser le parent pour qu’il ne refuse plus de tourner. D’un autre côté, cette culpabilité du parent entraîne une culpabilité ou un sentiment de ne pas avoir été à la hauteur, d’avoir déçu le parent. La culpabilité du parent entraîne l’enfant dans une spirale.
En plus d’être droguées, vous êtes sous l’effet d’un viagra pour femme, mais également sous hypnose. On vous suggère que vous êtes en train de jouir alors qu’on vous sodomise, par exemple. Vous voyez la vidéo et ne comprenez pas comment vous pouvez avoir autant de plaisir. C’est à cause de l’hypnose. Au fond, on vous fait ce qu’on me fait depuis des années. On me drogue, on m’utilise et on m’hypnose. Comme vous, je dois avoir peur, être honteux, ne pas vouloir qu’on voit ces humiliations. Je ne devrais pas être capable de me promener dehors tellement la honte serait grande. Par exemple, on me fait avaler du sperme, peut-être qu’on m’encule aussi, tout est diffusé avant que je ne sois obligé de sortir pour aller me chercher à manger et à boire. C’est pourquoi je ne peux commander du restaurant, pour m’obliger à affronter la honte publiquement.
J’ai effacé les liens parce que j’ai fait 10 fois le tour et que l’analyse est complète.
C’est une traite humaine, j’en suis victime, et vous êtes prises dans une illusion initiée par l’hypnose et la drogue, en plus d’être isolée dans une bulle psychologique à cause de la détresse. C’est certainement un crime contre l’humanité.
Vous n’avez rien du tout. On en est au même point, au même dilemme qu’il y a 5 ans. Esti gang de débiles aveugles.
Vous avez que dalle.
Je n’ai jamais été membre de la « fake » pyramide. On m’a drogué et on s’est servi de mon esprit autistique pour créer des structures. Je n’ai rien à voir avec ça. Je n’ai jamais jamais profité d’un moindre avantage de la « fake » pyramide, au contraire. Mon ex s’est vengée sans fin sur moi pour vous aveugler, pour détourner votre attention.
Je n’ai jamais été dans le crime organisé. Je n’ai jamais signé un quelconque contrat. Je n’ai jamais partagé mon sang. Rien, niet, nada. Rien pantoute. Encore vos criss de préjugés. Je ne connais rien du crime organisé, c’est évident.
Je n’ai jamais été initié pour être dans une quelconque confrérie, fut-elle une cavalerie ou un cercle de motocyclistes. Je suis incapable de socialiser, tabarnak.
La police me poursuit pour rien. Je n’ai rien fait. Je suis isolé socialement. À la limite, j’ai touché des fesses dans un bar alors que j’étais soûl, il y a près de 40 ans. Ma première femme peut bien dire que je l’aurais violée avant le mariage ou la dernière fois qu’on s’est vus, mais jamais ça ne passerait en cour. Franchement, encore des préjugés. J’aimais cette femme et sa fille, jamais je n’aurais été capable de leur faire du mal intentionnellement. Impossible.
Que dire des accusations de mon ex?! Esti de gang de débiles. Pis des ouï-dire cumulés par le journaliste lui-même même piégé par la police, par la « fake » pyramide et par la mafia!!!
Sacrez-moi patience. Si la « fake » pyramide me tue, ça sera comme tuer n’importe qui sur la rue. En rien je ne suis lié à eux. C’est elle qui se colle à moi. Quelle connerie!
On dira ce que l’on voudra, la pensée magique nous habite tous et toutes. En chacun existe ce petit enfant qui croit au Père Noël, sous une forme ou une autre.
On souhaite que la vie soit autrement, que la journée de tempête soit ensoleillée jusqu’au Réveillon alors que la neige débute avec la découverte des cadeaux. On croit qu’un bon samaritain nous sauvera de cette situation impossible. N’est-ce pas des exemples de pensées magiques?
Quoi qu’il en soit, mon point porte sur des synchronicités nocturnes. On se sent sollicité.e, c’est bien correct. Est-ce notre inconscient qui nous parle? Est-ce réellement de la télépathie? Est-ce moi qui pense à l’autre sans nécessairement m’en attribuer l’origine? N’est-ce pas des exemples de pensées magiques, également?
Peut-être faudrait-il revoir la connotation péjorative de la pensée magique et prendre le temps de la connaître. La connaître et garder notre liberté par rapport à elle, établir une relation constructive avec elle.
Un film que je suis allé voir à mon retour de voyage a été «Tu te souviendras de moi».
«Édouard, personnalité publique et professeur d’histoire à la retraite, commence à perdre la mémoire. Habitué à s’exprimer sur toutes les tribunes, il doit se faire plus discret même s’il estime avoir encore beaucoup de choses à dire.»
C’était au Cinéma Beaubien, dans une petite salle, probablement parce que voilà déjà un moment que le film a sorti. Petite salle, mais pleine.
Outre que j’ai apprécié la représentation, le sujet et le traitement m’ont brassé.
Ma santé
C’est vrai que j’ai des pertes de mémoire et, par moments, des tremblements. Je ne crois pas avoir l’Alzheimer ni le Parkinson. Ces symptômes découlent davantage de mes traumatismes crâniens et des épreuves nerveuses vécues dans ma vie. Je ne peux que spécifier avoir vécu pratiquement toute ma vie dans une autre réalité sans comprendre la raison. Mon autisme me fait voir et comprendre la vie différemment, un décalage affectant inévitablement le système nerveux. Mon fonctionnement s’en trouve affecté puisqu’il s’aligne sur mes perceptions différentes. Comme n’importe quel humain, je réagis à ce que je perçois, pas à ce que les autres perçoivent…
Revenons au film.
En analysant les actions du personnage principal, je voyais son besoin de guérir de ses blessures passées. À ces dernières s’ajoutaient d’autres collectives.